Un phare dans l'océan

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Journal : Quelle politique économique ?


Donne un poisson à un homme et tu le nourri pour un jour, apprend lui à pêcher et tu le nourris pour toujours (Lao Tsé)


Depuis que l’« Amérique is back » en 1980, l’économie mondiale s’est progressivement globalisée. Cette internationalisation de l’économie s’est accélérée énormément dans les années 90 avec la Chine qui est devenu l’atelier du monde. La première conséquence est bonne puisque la richesse a augmenté comme jamais avec un PIB mondial qui a triplé entre 1980 et 2006. La seconde l’est moins avec une appropriation de la richesse créée par une élite financière qui représente moins de 10% des ménages quand ce n’est pas 1%. Aux Etats-Unis, les 1% des ménages les plus riches détiennent en 2007, 20% des richesses. En 1980, ces mêmes 1% ne détenait que 8% des richesses du pays. Il y en a forcément moins à se partager pour les 99% restants.
Si la globalisation peut être créatrice de richesse, le libéralisme non réglementé qui l’accompagne, est un risque majeur pour le monde. 80% de la population des pays occidentaux s’appauvrissent quand seulement 20% améliorent leurs conditions… cela entraîne une paupérisation des classes moyennes avec le risque évident qu’elles aient du mal à accepter la pilule. Quand on a connu, un certain confort, il est très dur de revenir en arrière et avoir le sentiment de tomber dans la pauvreté. En général, émeutes et destruction ne sont pas très loin comme l’ont montré les émeutes françaises de 2005. Comment éviter la paupérisation des classes moyennes pour la France tout en bénéficiant de la croissance économique mondiale ?

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