Journal : La destruction de la planète inéluctable, nous rend dépendant de la civilisation

Je me rappelle mon expérience de quelques jours au Cachemire. Mon guide pouvait survivre n’importe où car il savait chasser, cultiver le maïs, élever les animaux, faire du feu sans allumette ni briquet et reconnaître les plantes de la nature. A le regarder faire, je m’étais senti handicapé car perdu dans la nature, je serais certainement mort empoisonné ou tué par une bête sauvage. Heureusement pour moi, je savais faire autres choses mais celles-ci, très utiles dans les grandes villes, m’étaient d’aucun secours dans la nature sauvage du Cachemire. Ainsi, j’étais devenu dépendant des autres pour m’alimenter et me soigner. Dans nos sociétés modernes, nous étions tous devenus dépendant d’autrui car en nous éloignant de la « civilisation », notre espérance de vie diminue tragiquement.

Je repensais à cette histoire, suite à ma lecture d’un livre présentant les enjeux du développement durable. Celui-ci, naturellement alarmiste, évoquait dans un futur proche que l’air et l’eau seraient si pollués que nous aurons besoin pour respirer et boire, d’utiliser les services d’entreprises de purification d’air et d’eau. Actuellement en
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