En 1950, le nombre de musulmans en France était de quelques milliers, en 2000 ce nombre atteignait 9% de la population française. En 2050, les prévisions tablent sur 15% car les musulmans originaires principalement d’Afrique du nord font beaucoup plus d’enfants (16% des naissances en 2008 pour 10% de la population) que le reste de la population et que les non-musulmans doivent se convertir pour se marier avec eux. Une telle projection montre que la population française va être modifiée en profondeur pour s’éloigner de manière définitive de nos ancêtres gaulois. Est-ce un problème ? Non car la qualité d’un homme ne se mesure ni à sa couleur ni à sa religion mais cela montre qu’avec ou sans Hope, la proportion de blancs dans la population française va diminuer inévitablement.
Les guerres de religions qui avaient ensanglanté l’Europe au XVIIeme siècle s’étaient produites alors que seulement 5% de la population était protestante. Même si la religion semble mois importante aujourd’hui, je prends ces chiffres au sérieux car mon expérience des pays musulmans n’est malheureusement pas rassurante. Certaines personnes bien pensantes me disent « Si certains musulmans brident leur femme, prônent le djihad et enseignent uniquement le Coran a leurs enfants, c’est parce que leur religion n’a que 1300 ans. Or le christianisme à la même époque de son histoire, connaissait les croisades et les guerres de religion. Laissons-leur le temps d’évoluer et comme les chrétiens, ils apprendront la tolérance. » Le problème avec les comparaisons, c’est que l’on compare souvent des choux et des carottes pour en tirer des conclusions complètement erronées. L’Islam n’est pas la religion chrétienne et le moyen âge n’est pas le monde moderne de la mondialisation qui offre de nombreuses opportunités de
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