Un phare dans l'océan

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< Il faut d’abord que la France crée plus de richesse que les 2% de croissance annuelle car nous ne savons pas profiter correctement de la croissance mondiale. Or les grandes entreprises françaises ne jouent pas le jeu, elles préfèrent dans le meilleur des cas investir à l’étranger et dans le pire des cas, garder le capital en espérant une OPA qui se finance grâce à ce capital conservé. Qui gagne ? Les directeurs qui se versent ainsi des grosses indemnités et les actionnaires dont l’OPA a fait monter les cours en bourse. Qui perd ? Les salariés qui voient leurs emplois supprimés à cause des doublons de poste ou simplement car l’entreprise n’est plus compétitive suite au déficit d’investissement. Les deuxièmes perdants sont les consommateurs car dans un monde dirigé par quelques entreprises dont les directeurs s’entendent sur les prix, les vertus de la concurrence ne s’exercent plus. Enfin les contribuables perdent car les gros chèques reçus par les directeurs sont net d’impôt car versés dans les paradis fiscaux.
Qui sont ces actionnaires engrangeant quelques profits? Plus de 50% du CAC40 est détenu par les fonds de pension américain et par les fonds souverains des pays producteurs de matière première comme les pays du golfe ou la Russie. La Chine avec ses extraordinaires excédents commerciaux commence également à investir.
Bref très peu de français bénéficient de ces montages financiers mais ils sont nombreux à perdre. Tant que le système privilégiera le profit immédiat à la pérennité de l’entreprise et des emplois, la France n’a rien à attendre de ces grandes entreprises dirigées par des financiers.
Il faut donc chercher la croissance auprès des PME mais notre réseau français est
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