Un phare dans l'océan

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Introduction au grand voyage (Julien Bourlon)
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Journal : Quelle politique économique ? (Julien Bourlon)
Journal : Table mountain ou la force de la volonté (Julien Bourlon)
Journal : Comment nourrir Hope ? (Julien Bourlon)
Journal : Tous ces gens qui veulent s’en sortir (Julien Bourlon)
Journal : Les risques d’une société multiethnique (Julien Bourlon)
Journal : Remercier les bénévoles (Julien Bourlon)
Journal : importance du luxe et du futile (Julien Bourlon)
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Journal : L’école par groupe de niveau (et non par âge) (Julien Bourlon)
Journal : Afghanistan ou l’impossibilité de changer le monde à distance (Julien Bourlon)
Journal : Vivre sous l’emprise de la religion (Julien Bourlon)
Journal : Les franchises pour faire des entrepreneurs (Julien Bourlon)
Journal : Dubaï, un exemple d’ambition (Julien Bourlon)
Journal : Garder le contact avec le peuple (Julien Bourlon)
Journal : Thaïlande (Julien Bourlon)
Redonner des repères grâce à la nation (Julien Bourlon)
Journal : Stopper le gaspillage de l’intelligence humaine (Julien Bourlon)
Journal : Comment rendre les citoyens heureux (Julien Bourlon)
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Pauvreté vs enrichissement (Julien Bourlon)
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Journal : Comment l’Australie m’a montré la culture française (Julien Bourlon)
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Aborigène : Le spectre de Darwin revient (Julien Bourlon)
La mort des populations marginales (Julien Bourlon)
Rencontre avec une personne de l’OCDE (Julien Bourlon)

Journal : Remercier les bénévoles


Alors que j’étais dans un mini bus en route pour un safari, j’ai eu la chance de rencontrer Thierry, un français très engagé. Il avait 44 ans, deux filles et chose étrange, il s’apprêtait à prendre 6 mois sabbatiques pour écrire deux livres en voyageant autour du monde. J’avais commencé cette expérience depuis 2 mois et nous prirent plaisir à échanger. Il habitait l’ile de la Réunion où il exerçait un métier d’entrepreneur tout en ayant de nombreuses responsabilités politiques et associatives. Il faisait parti de ces gens qui veulent changer le système pour mettre l’homme et non l’argent aux centres des décisions. Ce que j’en retiens, c’est qu’il voulait mettre en place le développement durable même si il n’aimait pas cette expression trop galvaudée.

Sur bien des points, j’étais d’accord avec lui, notamment quand il évoqua que le PIB ne représente vraisemblablement que 40% de l’économie réelle et que les 60% restant sont faits par des bénévoles dans des associations, des mères de familles qui éduquent leurs enfants ou des grands parents qui gardent les enfants… Or toutes ces activités essentielles pour le pays, échappent à l’économie marchande. Il me parla d’instaurer
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