Un phare dans l'océan

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Journal : Thaïlande (Julien Bourlon)
Redonner des repères grâce à la nation (Julien Bourlon)
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Journal : Thaïlande


J’adore la Thaïlande. Vivre semble tellement facile dans ce pays magnifique. Il y a tout, c’est bien organisé avec des paysages qui inspirent la sérénité. Les palmiers offrent une ombre salvatrice pour se protéger d’un soleil de plomb qui invite à la sieste. Ainsi allongé dans le hamac, le vent vous caresse. Au réveil, vos yeux se portent sur la mer translucide… L’eau à 30 degrés est certainement un peu trop chaude mais avec un masque et un tuba, elle vous montre une palette de couleur incroyable. Des coraux, des poissons à perte de vue dans cet aquarium géant.
Cette vie de rêve l’est davantage pour les hommes que pour les femmes. Les Thaïes sont en surnombre par rapport à leur partenaire masculin. La faute aux moines, à l’armée et d’autres choses qui m’ont échappé dans les vapeurs de la nuit. Comme dans tous les pays, les femmes Thaïes aiment les hommes qui réussissent. Or l’homme blanc possède par sa culture d’entrepreneur, un avantage certain sur les hommes de ce pays… Il suffit de danser, d’offrir à boire et la nuit devient torride car vous êtes la cible d’une chasse où il est bon de se faire prendre. L’énergie économisée dans la journée reflux dans vos veines. Vous êtes sur la plage au clair de lune ? Vous ne le savez plus car vous appartenez à la Terre. Le cerveau ne commande plus, c’est un serviteur docile de votre
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