Un phare dans l'océan

La négociation des immigrés avec leur pays


Dans certaines dictatures comme au Zimbabwe ou en Ouzbékistan, les gouvernements refusèrent à la France de poser ses avions pour récupérer les quelques milliers de personnes intéressées pour aller à Hope. Marc se rendit en visite officielle pour essayer de les faire changer d’avis en leur expliquant que ces gens allaient constituer une diaspora. Ils reverseraient à leur famille une partie de l’argent qu’ils gagneraient, entraînant ainsi un enrichissement du pays d’origine. Avec la corruption, Marc savait que les gouvernements prendraient une partie de cet argent lorsque la famille restait au pays, achèterait une voiture ou le diplôme d’un jeune adulte. Marc expliqua également que les immigrés seraient formés. Si d’aventure, ils revenaient au pays ou décidaient de faire du commerce avec leur terre d’origine, ils pouvaient former d’autres habitants avec un effet boule de neige sur le pays tout entier. Si les gouvernements étaient sensibles à l’arrivée de devises étranges, ils ne croyaient pas trop au deuxième argument « Qui serait assez bête pour revenir au Zimbabwe alors qu’il est installé à Hope ? » et il faudrait attendre plusieurs années pour que Hope développe une génération
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