Un phare dans l'océan

Les mathématiques sont l’avenir de l’art


Le Taj Mahal est le sommet de l’art classique inventé par l’homme. Tous les sentiments nobles s’y dégagent : harmonie, sérénité, simplicité, douceur et si l’on se laisse absorber par sa magie, on est envahi de sentiments paisibles et amoureux. Son histoire est également merveilleuse puisque son commanditaire l’a souhaité par amour pour sa troisième femme. Pourtant si sa beauté m’a ému, son coté statique l’empêche de rivaliser avec l’éclat perpétuellement dynamique de la nature. Quoi de plus beau que la vallée glacière du Yosemite ? Quoi de plus captivant que les reflets rosées d’un couché de soleil dont les couleurs varient au grès des nuages ? Quoi de plus fascinant que le désert iranien vu du ciel ? Son sol aride est creusé par des cours d’eau à la durée de vie éphémère qui sont parfois alimentés par les neiges éternelles des montagnes gigantesques qui forment des barrières infranchissables même aux géants. Les flocons de neige en leur sommet, scintillent de leur blancheur immaculée et fondent en autant de larmes tristes à trop regarder ce peuple iranien sous le joug de la religion. Plus je contemple la nature et plus je la trouve incroyablement belle et sans rivale. Les tentatives humaines pour capter cette beauté me semble veine alors à quoi bon être un artiste si c’est pour ne faire que de pâles copies de l’œuvre du tout puissant ?


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