Un phare dans l'océan

Richard Dormal contre-attaque


< extrémistes catholiques. L’explosion du monastère de l’école chrétienne avait fait quelques morts, mais c’est surtout le terrorisme islamique qui avait fait des dégâts en tuant plus de 500 personnes.

Dans ce climat meurtrier, Richard Dormal ne resta pas inactif. Il savait que dans les relations humaines, il faut toujours faire du parallélisme de forme. Dans un jeu bipartite, les chercheurs de la théorie des jeux ont montré de nombreuses fois que l’on maximisait ses gains en imitant l’autre. Il veut collaborer, je collabore. Il veut la guerre, je fais la guerre. Une grave erreur serait de s’obstiner à collaborer quand l’autre veut la guerre car cela est interprété comme de la faiblesse et on se fait massacrer. Même si Hope véhiculait des sentiments de fraternité, de respect ou de pardon, le jeune pays devait se battre pour survivre et avec Richard Dormal, il possédait un être rigoureux, obstiné, connaissant si bien les rapports humains qu’il savait où et quand frapper pour faire chanceler ses adversaires.

D’après ce que les services secrets avaient réussi à réunir comme informations, un sénateur américain, qui s’était fait élire grâce au lobby des armes, serait le leader d’un groupe de pression américaine représentant les intérêts des marchands de tanks, de F16 ou autres armes de destruction massive. Richard Dormal décida qu’il fallait tuer cet homme et accuser le lobby des armes de ce crime. Ensuite il faudrait répandre de fausses rumeurs pour que les américains fassent le lien entre leurs entreprises et les attentats à Hope. Si le peuple américain soupçonnait ses lobbies de pareils crimes,
Page Suivante

";

Page : 2/4
<< | <   | > | >>


Tout afficher

Modifier article
Imprimer article
Exporter article
Commenter

0 commentaire


Notez le !
1 2 3 4 5


Notes : 3,0/5


Personnes ayant
 - vues l'article : 2073
 - votées : 15