Un phare dans l'océan

Richard Dormal contre-attaque


< terrorisme religieux, Richard appliqua la même méthode en faisant exploser un des lieux saints de l’Islam. La France grâce à ses longues relations ambiguës avec le monde musulman avait appris à le connaître parfaitement et elle avait fait accuser un fils du roi d’Arabie Saoudite dont les liens avec le terrorisme étaient connus de tous. Comme il faisait un commanditaire très probable, le peuple d’Arabie Saoudite commença à gronder, bien aidé par les anglais et les français qui semaient le vent de la révolte, comme ils avaient su si bien le faire dans les pires moments de la colonisation. Comprenant que son temps était compté s’il ne collaborait pas avec les européens, le roi d’Arabie Saoudite fut obligé de se séparer de ses amis fondamentalistes en leur coupant les vivres. La France et Scotland yard avaient assez d’espions pour s’assurer que les mesures étaient prises et les fondamentalistes coupés du soutien financier devenaient impuissants.

Pour Ai-Li Martin, Richard Dormal ne voulait pas utiliser la même technique pour ne pas discréditer les entrepreneurs français. Il organisa un petit accident de la route où la belle asiatique fut blessée légèrement et dans les fleurs de condoléance, il lui joignit la photo de la femme découpée au scalpel que Marc Couturier lui avait montré quatre ans plus tôt. Au dos de la photo, il avait écrit de sa main « Dernier avertissement ». Ai-Li Martin ne connaissait Richard Dormal que de réputation, mais elle savait qu’il avait des contacts partout et qu’il était intouchable. Le temps de l’intimidation des peuples d’Europe devait se terminer.


Article rédigé par: Julien Bourlon le 22/06/09
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