Tu es partie ce matin,
Rage, joie, amour, haine tu as tout emporté
Je tente de reprendre possession de moi-même
Mais agar en ce jour d’agonie, je ne suis bon qu’à regarder les crabes
Malgré ta fantaisie, je ne t’aime pas
Ta dépendance à l’alcool annihile ta volonté
Tes mensonges m’empêchent d’avoir confiance
Et pourtant tu as volé mon cœur
Heureusement je suis comme le phœnix
Le temps, comme un balai t’effacera de mon cœur
Remettant à nu mes sentiments, mon envi et mon courage
Alors je me rappellerai de toi comme d’un souvenir heureux
Article rédigé par | : Julien Bourlon | le | 20/05/09 |
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